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Freackles

9 juillet 2015

L'endroit - le BAM, le Bar à Musique, BIM BAM BOUM

Le BAM – Le Bar à Musique – Karaoké Box

« Emmenez-moiiiiii » au BAM, nous supplie « Cendrillon, pour ses vingt ans ». Entre nous, elle vient d’en avoir 32, ne la froissons pas car « être une femme libérée c’est pas si facile ». Nous voici donc partis avec « Nathalie » avec sa robe « couleur menthe à l’eau », la « Petite Marie », « Aline », vêtue de son « pull marine »,  et notre cher « Milorrrrd » au BAM, le Bar à Musique, situé au coin de la rue Richer et de la rue de Trévise dans le 9e à Paris.

« Les uns contre les autres », on entre dans l’une des nombreuses salles de cet endroit « Formidable, formidableee ». Ici, ça chantonne, ça braille, ça fredonne, ça s’égosille, ça vocalise, ça braie, ça entonne, ça beugle, ça gouale… Enfin, pour faire simple, ça chante quoi !

Idéales pour un enterrement de vie de jeune fille, un anniversaire ou une soirée entre « copains d’abord ! », les salles sont à louer pour 8, 10, 12, ou 15 personnes, privatisables pour des sessions de 2h. « Cassez la voix » sur plus de 7000 titres anglo-saxons et de 2200 titres français, on dit « Allumez le feuuuu » car les salles sont entièrement climatisées et insonorisées.  « Alors on danse » ou plutôt on chante tout cela à partir de 10€ par personne.

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Parce que chanter, « c’est bon pour le moral » et l’équipe du BAM l’a bien compris. Inspiré du concept des karaokés box en Asie, l’initiateur de cette belle idée, Arnaud Studer réinvente et dépoussière le karaoké en une véritable expérience, comment dire, libératrice. Ce mélomane a réussi son tube. Changer la vision kitch du karaoké pour le rendre plus agréable et amusant.

Côté déco, non pas en « rouge et noir », le BAM a été pensé par le studio de design POOL. Une véritable alchimie entre le mobilier, le logo et la façade art déco de leurs chères voisines les Folies Bergères.

Le BAM, on a envie de lui crier « je t’aimeeeeeeeeeeeee ». Bref, on l’adore point BAM, euh barre !

Le BAM
30, rue Richer, Paris 9e
01 48 00 94 65
Ouvert du lundi au vendredi de 18h25 à 2h
Et samedi et dimanche de 10h à 2h
M° Grands Boulevards/Cadet
www.bam-karaokebox.com

 

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13 mars 2015

L'inconnu(e) de la semaine - La kiosquière qui murmurait aux oreilles des toutous du 16e

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Je tourne en rond, je tourne en rond. Je tourne en rond comme un chien ! Et oui faut bien l’avouer je suis le chienchien à sa mémère. Une mémère du 16e arrondissement de Paris. Quartier riche et tranquille où il y a plus de clebs au mètre carré que d’êtres humains. Avec mémère, les jours se ressemblent et je ne m’en porte pas plus mal. Tous les jours, il faut que je traîne mon chien de poche, cette mémère qui me suit partout et qu’il faut sortir plusieurs fois par jour. Mais ce que je préfère c’est la visite journalière à la kiosquière : Patricia dit « Patou » pour les patauds de notre espèce.

Avec Patou, on est cabot caboche. J’ai connu Patou au détour d’une virée avec pépère, le mari de mémère, je n’avais que quelques mois. Je me souviens de cette femme portant hiver comme été, une casquette rouge, une doudoune kaki et un gilet de pêcheur à l’occasion.  Cette kiosquière est sur tous les fronts à bosser depuis 16 ans dans sa niche, le kiosque de la rue Victor Hugo, même malade comme un chien et par un temps digne de ce nom.

Cette nana a vraiment du chien dans le corps. Elle a toujours su se débrouiller avec les moyens du bord. De toute façon, elle n’a pas eu le choix. Quand on l’écoute on est comme un chien dans de l’eau bénite, un peu pris au dépourvu. La Patou, est l’une des plus jeunes émancipées de France, que dis-je la plus jeune a l’avoir été, 13 ans et demi. Elle, qui s’est occupée de son petit frère quand on a l’âge encore de l’insouciance. Une vraie vie de chienlit. Plus d’une personne aurait tirer son chien par la queue, perdu tout espoir mais Patou s’en est arrachée pour vivre, pour survivre même. Elle, qui s’est tant occupée des siens, de sa mère et de sa grand-mère, il est temps pour nous de se donner un mal de chien à la rendre heureuse. Et d’ailleurs, elle nous le rend bien ! Je crois bien qu’elle nous préfère à nos maîtres. Les animaux c’est sa vie, son refuge.

Patou a du chien, ça c’est certain. Du caractère, elle en a oh ça oui ! Un petit bout de femme qui n’a peur de rien. Patricia c’est un vrai chien fou. Tantôt chien et chat avec les bourgeois de ces beaux quartiers tantôt doux comme un chiot. Patou, c’est la « titi parisienne » par définition avec un accent parigot à couper au couteau. Un langage de poissonnière mélangé à un cœur plus que gros que ça! Patou c’est une boule de poils, un être atypique et attachant. Bref, une espèce en voie de disparition.

Je n’ai qu’un mot à lui dire ou plutôt deux : « ouaf ouaf » !

Patou vous accueille dans son kiosque au 127, avenue Victor Hugo, Paris 16e. Un conseil : n’oubliez pas votre sourire sinon elle mord!

 

 

 

12 mars 2015

L'endroit - Restaurant le "Beaumarchais" ou l'insolent!

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« La difficulté de réussir ne fait qu’ajouter à la nécessité d’entreprendre ». Cela pourrait être le leitmotiv de Cédrik et Alexandre. Restaurateurs et amateurs de cuisine « bistro », ces « Doux Amis » ont fait de cet endroit historique le nouveau lieu de vie de la Bastoche.

Logé dans les anciens garages à carrosses et calèches de l’Hôtel Sagonne, « l’insolent » se veut lumineux et moderne. Ici, se côtoient des grandes verrières d’atelier et matériaux bruts pour une ambiance new-yorkaise doublée d’une influence d’Europe du Nord. Pensé par l’agence d’architectes NEM, le restaurant s’articule sur cinq espaces dédiés : l’atelier et l’ilot-bar, la Mezzanine, la Cabane, les Appartements de Ninon et la terrasse. Des ambiances où l’on pourrait imaginer l’espace d’un instant le « Mariage de Figaro ».

« Si l’amour porte des ailes, n’est-ce pas pour voltiger? » C’est sans aucun doute ce que l’on ressent dès que l’on goûte le risotto au gambas, on vole. Aérien, fondant et généreux, bref un pur délice. On remarquera également le burger au comté et sa fondue d’oignons, digne d’un bistronomique. Tout cela accompagné d’une sauce béarnaise, faite maison.

Petit bémol pour le tartare yuzu qui manque tout de même d’un peu de saveur. Mais on se rattrape avec l’œuf bio Bénédicte au saumon mariné. Surprenant! Un grand plus aussi pour la sole à la plancha ou meunière et son riz noir, une « tuerie » d’après la voisine de table ! On finira avec un cheese cake qui n’est original que par son coulis à la mangue et son biscuit croquant.

Cette cuisine goûteuse, on la doit au chef Yann Devarieux. Acolyte de Cédrik et Alexandre, les maîtres des lieux, il travaille depuis plusieurs années avec eux. Yann fait ses armes auprès de Jean-Luc Lefrançois à l’Hôtel Astor et avec Mr Manuel Martinez au Relais Louis XIII (2 étoiles Michelin, oui Môsieur!). Beaumarchais avait raison : « Métier d’auteur, métier d’oseur ». Le chef propose une cuisine « bistro » et ose la réinterpréter tout en étant créative et maîtrisée.

On notera un accueil au diesel mais qui finit sur les chapeaux de roues ! Et oui « que sans la liberté de blâmer, il n’y a pas d’éloge flatteur »…Bref, une bonne adresse qui mérite qu’on s’y attarde un instant.

Le Beaumarchais
19-21, bd Beaumarchais, Paris 4e
M°Bastille
01 49 96 47 00
Ouvert 7j/7
Du dimanche au jeudi de 9h à minuit
Les vendredis et samedis de 9h à 2h

 

22 février 2015

Le billet d'humeur - Hommage aux vendeurs!

Pour mieux apprécier la lecture de cet article, veuillez trouver ci-dessous le lien audio. Bonne écoute!

http://we.tl/GGINCuzMZM

O joie des soldes !!! O réjouissance des pastilles, rouges, bleues, violettes, verts caca d’oie, jaunes de Damas et bleues des mers du sud…Ca y est les soldes sont déjà finis ou plutôt ENFIN diront certains ! Rendons hommage à des vendeurs plus que courageux, des survivors de la chemise, des paras de la godasse, des monstres de la culotte, bref des cadors du vêtement.

Qu’un seul « conseiller de vente »_ respectons le politiquement correct_ me jette la première fringue s’il n’a jamais rêvé d’envoyer se rhabiller un très cher client. On a tous en tête le sketch de Muriel Robin, vendeuse en lingerie, légèrement excédée : « Quel bonnet? Quel bonnet ? Mais on dirait qu’elles partent toutes au ski ! »

Et oui un vendeur pendant les soldes c’est en moyenne : 8976 bonjours et 46 retours de politesse. C’est 8976 « si je peux vous aider n’hésitez pas » et 10 « merci beaucoup », 220 « oui oui » et 678 regards qui vous disent «elle va me lâcher celle-là », sans parler des innombrables marques d’ignorance! Le vendeur aime être au service de la mode dans ces moments-là, surtout dans ces moments-là…

Rendons aussi grâce à ses clients et clientes, qui sans eux et sans elles, cette chronique contemporaine n’aurait pas lieu. Pour mieux les apprécier, voici quelques profils de chalands recueillis auprès d’un public de conseillers de vente très avertis :

La cliente muette et/ou sourde
10h45, une cliente rentre dans une boutique:
Le vendeur : « Bonjour Madame, bienvenue »
La cliente : « ……………………. »
18h30, le vendeur attend toujours une réponse.

La cliente de mauvaise foi et/ou de bonne foi
Celle-ci c’est sans aucun doute notre préférée. La cliente persuadée qu’elle pourrait rentrer dans un 36 alors qu’en réalité elle fait un 40.
La cliente : « Vous taillez petit non ? »
La vendeuse : « non madame, on a plutôt tendance à tailler grand sur ce modèle »
La cliente : « oui, enfin il doit sûrement y avoir un défaut de fabrication »
Oui ça doit être sûrement ça, un DEFAUT DE FABRICATION !

La cliente feignasse et/ou aveugle
Avant de relater cette anecdote, plantons le décor. 34 affiches présentes dans le magasin avec les pourcentages correspondants, sans compter les innombrables étiquettes présentes sur les produits indiquant C.L.A.I.R.E.M.E.N.T les réductions.
La cliente : « C’est combien ? »
Le vendeur : « 30% Madame »
La vraie pensée du vendeur : « c’est comme le Port-Salut, c’est écrit dessus ! »

La cliente nympho et/ou tête en l’air
La cliente essaye une jolie robe portefeuille.
La cliente au vendeur : « Jeune homme, pouvez-vous m’aider à attacher cette robe ? »
Le vendeur : « Bien sûr madame »
Deux minutes plus tard, le vendeur revient vers ses collègues, rouge écarlate.
Les collègues, interloqués : « ???? »
Le vendeur : « la cliente n’avait pas de culotte sous sa robe !!! »

La cliente sympa et/ou sympa « mais trop sympa »
C’est la cliente sympa mais vraiment trop sympa qui comprend tellement le métier de vendeur. Doit-on lui dire merci ?
La cliente : « Je vous souhaite vraiment du courage, parce que c’est pas facile. Je vous plains et je suis sincère. Pendant cette période, les gens sont hystériques. Vous ne faites pas un métier facile. Et puis les horaires, vous ne devez pas avoir de pause. Et sans parler des clients pas très aimables, ou ceux qui vous tiennent la jambe alors que vous avez mille clients à gérer… »
La vendeuse en OFF mais avec le sourire: « euh ce n’est pas ce que tu es en train de faire ?! »

Une période où le « tout est permis » est permis parce qu’il paraîtrait que le client est roi ?!

Bonne nouvelle, les soldes sont finis ! « Vendeurs, vendeuses, on vous ment, on vous spolie ! ». Surprise, rendez-vous fin juin !!!!!

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 Un grand merci au dessinateur Johan pour avoir illustrer cet article.

12 janvier 2015

"Je suis Charlie"

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28 novembre 2014

La news - Le n°1 des salons des Loisirs Créatifs à Paris

 

DIY

La semaine dernière se tenait à Porte de Versailles le Salon du Do It Yourself, Créations & Savoir Faire, en partenariat avec Marie Claire Idées. Plus de 300 exposants se côtoient autour de plusieurs univers comme la couture, la déco, le scrapbooking, la beauté, la mode et la customisation. A noter la présence de grandes marques (Loisirs et Création, Toga, Posca, ou encore Phildar) en passant par les petits créateurs très tendance (Rio Fukuda, France Duval Stalla). Petite nouveauté cette année un espace dédié aux créations culinaires.

Ici, ça « crochette », ça coud, ça coupe, ça patronne, ça enrubanne, ça boutonne, ça décore, ça brode, ça « patchwork », ça tricote, ça tamponne, ça « scrap », ça « origame », ça encadre, ça cartonne… Mais surtout ça crée !

C’est au total cinq univers différents présents : les tendances mode et la customisation, les idées créatives et brico, les aiguilles et traditions, papiers et scrap, sans oublier des idées gourmandes et festives. On en salive déjà !

« Laissez passer les petits papiersssssssssss ». Régine quand tu nous tiens ! Cette chanson ne cesse de nous tarabiscoter les oreilles dans ce salon. « Papier chiffon, papier buvard, papier de riz ou d’Arménie, papier velours, papier dessinnnnn », papier pailleté, fripé, Masking Tape et autres papiers japonais. Il y en a pour tous les goûts. Et c’est ce qu’on aime ici. Chacun y trouve son bonheur.

Le coup de cœur du salon : sans aucun doute les papiers japonais d’Adeline Klam, présents déjà l’année passée. Ils nous envoûtent une nouvelle fois. Parés de mille couleurs, de mille formes et mille dessins, ils nous surprennent et bizarrement nous attirent. C’est les mille et une nuits au pays du soleil levant ! Pas étonnant les gens s’y précipitent.

 

KLAM

www.adelineklam.com

Au détour d’une allée, petit stand aux couleurs romantiques et pastel attire l’attention, c’est le stand de Patine de Campagne. Créée par Ingrid-Julie, Patine de Campagne propose des boutons de portes, des nœuds, des cadres, des socles, des frontons, etc. Le petit plus : les plâtres sous toutes ses formes, disponibles en blanc naturel, gris ou rose à peindre ou à patiner. On adore !

PDF

 www.patinedecampagne.com

On n’oublie pas de mentionner les ateliers et workshop tout au long de la journée pour affiner ses connaissances ou encore montrer son savoir-faire.

Un salon à majorité féminine où circule les moins jeunes comme les plus jeunes. Ah non n’oublions pas monsieur Gaston, qui en mari dévoué, accompagne sa femme pour dégoter le dernier point de croix de chez Une croix le temps d’un thé. On le sent qu’en même un peu fébrile mais on lui dit merci Gaston !

Bref, un salon haut en couleurs plein de gaité et de bonne humeur où le plus simple petit talent de chacun est mis à l’honneur.

Bravo Marie Claire, elle a de la suite dans les Idées !!

 

 

 

 

7 novembre 2014

La news - Séance de dédicace de la nouvelle BD de Bérengère Krief

Lundi 27 octobre, 17h03, Boutique Place A, 19 rue Condorcet Paris 9e
Séance de dédicace de la nouvelle BD de Bérengère Krief

 

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Elle est là ! Assise derrière sa table, chemise blanche à petits cœurs noirs, rouge à lèvres vermillon, grand sourire, Bérengère Krief accueille ses premiers lecteurs. Pétillante, un brin timide (comme quoi !), elle met à l’aise de suite, demande si la BD a plu, petit moment de solitude certains ne l’ont pas lu ! Sauvée par le gong ! La jeune Marie Voyelle, l’illustratrice de la BD arrive avec ses trousses à malices, feutres, crayons de couleurs à gogo (ô jalousie quand tu nous tiens !). Le temps d’un dessin personnalisé, on a le temps de parcourir la BD. « C’est l ‘histoire d’un mec » ou plutôt d’une nana pas comme les autres mais simplement comme tout le monde. On y suit Bérengère toute une journée, du réveil au coucher. Quel plaisir de retrouver ce cher chat Jean-Noël dont on apprend qu’il est cyclothymique, ou encore de partager un petit-déjeuner 100% light au Nutella, sans oublier la poursuite des zombies ou des « bi-zons » pas futés ! Bref, l’univers de Bérengère est bien là.

Ambiance bon enfant dans la boutique, mais il est temps de vaquer. BD et dédicace sous le bras, on remercie Bérengère, mais aussi Marie, la copine de Bérengère (qui entre temps est arrivée pour la soutenir), l’éditeur (qui veille au grain), l’amie de l’éditeur (qui n’a qu’une envie acheter tout le magasin. Et la BD alors ?!), Adrien (le maître des lieux et qui finit ENFIN de préparer le thé !), Christine, la maman d’Adrien (qui mitraille avec son appareil de photo !). Sans oublier Jean-Noël, ah non celui-là n’est même pas venu montrer le bout de son nez !

Une journée avec Bérengère Krief
Editions Delcourt/Mirage
Prix : 15,95€

 

 

 

 

22 octobre 2014

Un gros merci à Harmony Genovese, styliste et créatrice de talent, pour ce joli logo!

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16 octobre 2014

L'idée

« Mais qui a découvert Pamela Loops ? »

 

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Et bien ce n’est pas Kad et Olivier mais bel et bien nous ! Une déclaration d’amour, une demande en mariage, souhaiter un anniversaire ou demander à sa meilleure amie d’être témoin à son mariage. C’est possible avec cette charmante idée de boîtes à message.

Artiste parisienne, Pamela Loops crée des histoires dans de minuscules boîtes en carton, tout en décor rétro. Chaque boîte contient un message scénarisé avec ses personnages, ses bulles de dialogues et son décor. Au choix également un message imprimé sur un ruban ou un mouchoir, enroulé et niché dans sa petite boîte. A envoyer ou à glisser sous l’oreiller, c’est la petite boîte qui fait du bien !

A découvrir sur le site etsy
http://www.etsy.com/shop/PamelaLoops?ref=pr_shop_more
Et sur Facebook
https://www.facebook.com/pages/Pamela-Loops

16 octobre 2014

L'endroit - Restaurant le « Benedict » : un nouvel arrivé dans le poulailler !

 

Le Benedict a bien mis ses œufs dans le même panier et il a eu raison !

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Idéal pour une soirée entre poulettes où l’on peut jacasser à sa guise, le Benedict, petit frère du Schwartz est un restaurant où il fait bon piailler. Niché au cœur du marais, le Benedict propose une carte dédiée aux œufs (mais pas seulement !).

On ne rate surtout pas l’œuf Bénédicte au saumon « mon préféré » avec sa mousse de crème fraiche à l’aneth,   et celui au bacon sur son nid pancake. Tout cela accompagné de frites faites maison à tomber, de pomme de terre grenailles ou d’un wok de légumes pour les plus sérieux. Ici l’œuf fait son coq, vous l’aurez compris ! On n’oublie pas non plus le club sandwich avec son pain brioché, son œuf poché, cheddar et autre…Pour les moins « egg addict », la carte propose des burgers.

La décoration stylée, épurée et sans coquille donne au lieu une atmosphère scandinave. Le plus : la verrière au fond du restaurant, idéale pour le brunch du dimanche! Un petit bémol : difficile de s’entendre parler…

Alors mes petits poulets courez-y  vite car le Benedict n’a pas fini de faire jaser !

A noter: des cocktails réalisés à merveille et un accueil digne de ce nom !

Benedict
19, rue Sainte Croix de la Bretonnerie, Paris 4e
Du lundi au vendredi de 12h à 15h et de 19h30 à 23h
Le week-end de 12h à 17h et de 19h30 à 23h30
A compter 20 à 40€

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